Sourire conforté par positivr, hellobiz et linfodurable.
La pollution des océans est un fléau dont de plus en plus de personnes prennent conscience, et les initiatives imaginées pour les nettoyer commencent à se concrétiser. Nous vous avons parlé à plusieurs reprises du projet très médiatisé du Néerlandais Boyan Slat, qui après un premier test puis une phase prototype entrera dans une phase de déploiement industriel en 2018 dans l’océan Pacifique. Aujourd’hui nous vous présentons un de ses petits cousins, qui essaie de stopper cette pollution un peu plus près de sa source.

©RanMarine

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Deux WasteSharks travaillent actuellement à Rotterdam, le Fat boy et le Slim (en référence à un certain DJ ?!), et un troisième, le Great Waste Shark, est en développement. Avec une taille proche de celle d’une voiture, de la forme d’un catamaran, chacun peut fonctionner 16 heures sur 24 et, surtout, avaler jusqu’à 500 kilos de déchets dans une bouche récupératrice, à la surface de l’eau.
L’apprentissage automatique, combiné avec des capteurs et des caméras embarquées, aide à garder le WasteShark hors des grandes voies de navigation. Il peut également recueillir des données sur la qualité de l’eau et ainsi concevoir un parcours de collecte plus efficace et plus rapide.
Les ordures collectées sont envoyées aux entreprises partenaires de recyclage et de gestion des déchets pour être traitées. Cerise sur le gâteau, cet aquadrone ne présenterait aucun danger, ni pour la flore marine, ni pour la faune.
Démonstration dans cette petite vidéo de présentation :
Sources : positivr.fr, hellobiz.fr, linfodurable.fr.