C’est assurément une semaine galactique !
Après la découverte majeure sur l’instant premier de l’univers, le fameux Big Bang, découvrez l’instant magique où le chercheur Andrei Linde apprend qu’ils sont enfin arrivés à cette découverte qui confirme la thèse d’Einstein sur la relativité et l’expansion de l’univers. On peut constater que, décidément, l’infiniment petit et l’infiniment grand sont les deux pendants d’un même univers.
Les chercheurs ont donc confirmé la présence d’ondes gravitationnelles primordiales. Mais pour asseoir son sourire naissant devant la perfection de cette création d’un monde, il suffit de se reporter aux récentes découvertes sur la musique des étoiles. Non contente de nous ravir les yeux, cette découverte, inaudible pour l’oreille humaine au vu des fréquences sur lesquelles les étoiles émettent leurs vibrations, enchante nos esprits.
Chaque étoile émet donc des ondes spécifiques en fonction de son « identité » et de sa structure. La géante gazeuse roucoule, les éruptions solaires grondent. Et même si le vide ne permet pas la propagation des sons en tant que tels, nous détectons les vibrations lumineuses qu’elles émettent et, comme on vient de le découvrir, un jour, nous pourrons sûrement écouter le concert que nous offre la galaxie.
Les fréquences acoustiques réelles des étoiles peuvent être transposées de 18 octaves ou plus, et amenées ainsi dans le domaine audible.
« Et pourtant elle tourne », disait Galilée durant son procès. « Et pourtant il chante », pouvons-nous tous aujourd’hui nous exclamer au sujet de notre univers.